Découvrez l’ensemble des prochains évènements proposés par RevFrance, le réseau français sur l’entente de voix.
N/I
1 avril 2023
Réseau français sur l'entente de voix (REV France)
Association à but non lucratif (loi 1901)
Assemblée générale 2023
Convocation
Cher-e Adhérent-e et/ou sympathisant.e,
Vous êtes convié-e à participer à l'A.G. de l'association REV France qui se tiendra :
Samedi 1er avril 2023
de 11h à 13h
à la Maison de la vie associative et citoyenne
181 avenue Daumesnil
75012 Paris
et par ZOOM
Lien de connexion :
https://us02web.zoom.us/j/84014392123?pwd=ak55WldWQ04rV2hMM2MybkNodjRIdz09
ou par téléphone :
01 7095 0103
01 7095 0350
01 8699 5831
01 7037 2246
01 7037 9729
N° de conférence : 840 1439 2123
Mot de passe : 775676
Confirmez votre présence :
par mail à l'adresse : admin@revfrance.org ou par téléphone au 06.31.87.18.89
Conformément aux statuts de l'association, vous pouvez vous faire représenter en transmettant un mandat écrit signé à la personne qui vous représentera. Une même personne ne peut cumuler plus de 2 mandats. Voter nécessite d’être à jour de votre cotisation.
Ordre du jour :
10h30 Accueil
11h Administration de l’association
- Rapport moral
- Compte rendu d’activité
- Bilan financier et budget prévisionnel
- Renouvellement du CA
- Points divers
14h30 Uniquement à la Maison de la vie associative et citoyenne Paris 12e
Au choix : projection débat autour du film de PJ Moynihan « Des voix qui guérissent »
ou : groupe d’échange sur le thème « A quoi on se reconnaît « pair » ? »
ou encore : « Dans quels mots on est pris ? De quels mots on s’éprend ? »
Fin à 17h
–
8 avril 2023
Suite de notre grand enquête participative dont vous êtes l'héroïne "Aux sources de la pensée psychiatrique" avec un nouvel opus où nous nous intéresserons à la façon dont les médecins, en général, pensent. Les psychiatres étant - a priori - d'abord des médecins, cette incursion dans la pensée médicale pourrait être instructive ! En effet, le Dr Jerome Groopman s'est intéressé à cette question sur la base du constant que la grande majorité des erreurs médicales ne sont pas des erreurs techniques (par exemple, un mauvais dosage de médicament) mais des erreurs de diagnostic, autrement dit une pensée incorrecte. Et, rappelant qu'un médecin va interrompre, en moyen, un patient qui décrit ses symptômes en moins de 18 secondes, il s'interroge sur ce qui peut bien se passer dans la tête d'un médecin en un si court laps de temps. Certainement pas un raisonnement argumenté... mais alors quoi ??? Un nouveau Forum du REV animé par Yann Derobert et centré sur sa lecture de l'ouvrage "How Doctors Think" ("Comment pensent les médecins") de Jerome Groopman, et accompagné d'une discussion ouverte !
DEUXIEME VOLET DE CE FORUM, samedi 8 avril à 17 h !
Lien de connexion ZOOM à copier coller dans votre navigateur :
https://us02web.zoom.us/j/87314837756?pwd=YWR0a2RNTGMrd0MxWWxaMWFhY1NPQT09
ou pour nous rejoindre par téléphone, composer l'un des numéros ci-dessous :
+33 1 8699 5831 France
+33 1 7037 2246 France
+33 1 7037 9729 France
+33 1 7095 0103 France
+33 1 7095 0350 France
Numéro de conférence : 873 1483 7756
Mot de passe : 201559
15 avril 2023
Entendre des voix est-il un signe de maladie mentale ? La question fait débat ! Venez en discuter librement lors d'un Forum en ligne du REV France qui sera l'occasion de partager votre expérience et découvrir celle d'autres personnes !
Rejoignez le Forum sur ZOOM à travers ce lien :
https://us02web.zoom.us/j/89348078448?pwd=TWh6NDBzZnE1N290TlJ4WkNsemUyZz09
ou par téléphone au :
+33 1 7095 0103 France
+33 1 7095 0350 France
+33 1 8699 5831 France
+33 1 7037 2246 France
+33 1 7037 9729 France
Numéro de réunion : 893 4807 8448
Mot de passe : 703763
N/I
17 avril 2023 – 19 avril 2023
Les personnes dites « psychotiques » sont confrontées à des expériences extrêmement
troublantes et souvent effrayantes pour elles-mêmes mais également pour leur entourage et les
professionnel-le-s de santé mentale. L'incompréhension, et la peur associée, sont des sentiments
dominants qui rendent la vie quotidienne comme les soins particulièrement délicats et éprouvants.
Afin d’établir un semblant d’ordre dans les expériences dites « psychotiques » (perception de voix,
d’odeurs, de visions, convictions inhabituelles et/ou problématiques...), la psychiatrie traditionnelle
a tenté de les catégoriser au sein d'entités pathologiques telles que la ou les schizophrénie-s. Si
cette démarche peut servir aux professionnel-le-s et aux proches à se rassurer, elle induit souvent,
dans la relation à l'autre, des effets malheureux. En particulier une asymétrie de pouvoir se met en
place qui paralyse tout le monde : d’un côté ceux qui ne vivent pas les expériences mais qui
« savent en théorie » (soignants/proches) et auraient de ce fait légitimité à dire ce qu’il convient de
faire ; de l’autre la personne vivant les expériences, démunie de tout savoir et invitée à accepter un
rôle de « patient » soumis. Pris dans cette relation bridée particulièrement frustrante, « patient » et
« soignant »/proche en sont réduits à se conformer aux habitudes institutionnelles sans
perspectives enthousiasmantes. Dans un tel contexte, l’expérience consistant à entendre des voix
n’est pas prise en compte dans l’aide proposée aux personnes qui y sont confrontées. Les
professionnels de la santé mentale sont formés à ignorer cette expérience considérée comme un
symptôme de maladie qu'il conviendrait de chercher à éliminer. Cette façon d'appréhender les voix
conduit inéluctablement à un isolement de la personne qui les entend. Cet isolement augmente la
souffrance de la personne, entrave le processus de rétablissement et instaure une relation de
défiance envers les professionnels voire les proches. Au cours de cette formation, en redonnant
une place aux voix et au « savoir » pratique des personnes qui vivent les expériences dites
« psychotiques », nous ferons ensemble l’expérience de la révolution que cela induit dans les
pratiques de soins en psychiatrie et dans les relations au quotidien entre toutes les personnes
concernées, ouvrant les larges horizons de possibilités du processus de rétablissement.
Cliquez ici pour télécharger le programme !
Cliquez ici pour vous inscrire en ligne (via HELLOASSO, code de réduction pour les adhérent.e.s du REV : "ADHESION").
N/I
17 avril 2023 – 19 avril 2023
Les personnes dites « psychotiques » sont confrontées à des expériences extrêmement
troublantes et souvent effrayantes pour elles-mêmes mais également pour leur entourage et les
professionnel-le-s de santé mentale. L'incompréhension, et la peur associée, sont des sentiments
dominants qui rendent la vie quotidienne comme les soins particulièrement délicats et éprouvants.
Afin d’établir un semblant d’ordre dans les expériences dites « psychotiques » (perception de voix,
d’odeurs, de visions, convictions inhabituelles et/ou problématiques...), la psychiatrie traditionnelle
a tenté de les catégoriser au sein d'entités pathologiques telles que la ou les schizophrénie-s. Si
cette démarche peut servir aux professionnel-le-s et aux proches à se rassurer, elle induit souvent,
dans la relation à l'autre, des effets malheureux. En particulier une asymétrie de pouvoir se met en
place qui paralyse tout le monde : d’un côté ceux qui ne vivent pas les expériences mais qui
« savent en théorie » (soignants/proches) et auraient de ce fait légitimité à dire ce qu’il convient de
faire ; de l’autre la personne vivant les expériences, démunie de tout savoir et invitée à accepter un
rôle de « patient » soumis. Pris dans cette relation bridée particulièrement frustrante, « patient » et
« soignant »/proche en sont réduits à se conformer aux habitudes institutionnelles sans
perspectives enthousiasmantes. Dans un tel contexte, l’expérience consistant à entendre des voix
n’est pas prise en compte dans l’aide proposée aux personnes qui y sont confrontées. Les
professionnels de la santé mentale sont formés à ignorer cette expérience considérée comme un
symptôme de maladie qu'il conviendrait de chercher à éliminer. Cette façon d'appréhender les voix
conduit inéluctablement à un isolement de la personne qui les entend. Cet isolement augmente la
souffrance de la personne, entrave le processus de rétablissement et instaure une relation de
défiance envers les professionnels voire les proches. Au cours de cette formation, en redonnant
une place aux voix et au « savoir » pratique des personnes qui vivent les expériences dites
« psychotiques », nous ferons ensemble l’expérience de la révolution que cela induit dans les
pratiques de soins en psychiatrie et dans les relations au quotidien entre toutes les personnes
concernées, ouvrant les larges horizons de possibilités du processus de rétablissement.
Cliquez ici pour télécharger le programme !
Cliquez ici pour vous inscrire en ligne (via HELLOASSO, code de réduction pour les adhérent.e.s du REV : "ADHESION").
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17 avril 2023 – 19 avril 2023
Les personnes dites « psychotiques » sont confrontées à des expériences extrêmement
troublantes et souvent effrayantes pour elles-mêmes mais également pour leur entourage et les
professionnel-le-s de santé mentale. L'incompréhension, et la peur associée, sont des sentiments
dominants qui rendent la vie quotidienne comme les soins particulièrement délicats et éprouvants.
Afin d’établir un semblant d’ordre dans les expériences dites « psychotiques » (perception de voix,
d’odeurs, de visions, convictions inhabituelles et/ou problématiques...), la psychiatrie traditionnelle
a tenté de les catégoriser au sein d'entités pathologiques telles que la ou les schizophrénie-s. Si
cette démarche peut servir aux professionnel-le-s et aux proches à se rassurer, elle induit souvent,
dans la relation à l'autre, des effets malheureux. En particulier une asymétrie de pouvoir se met en
place qui paralyse tout le monde : d’un côté ceux qui ne vivent pas les expériences mais qui
« savent en théorie » (soignants/proches) et auraient de ce fait légitimité à dire ce qu’il convient de
faire ; de l’autre la personne vivant les expériences, démunie de tout savoir et invitée à accepter un
rôle de « patient » soumis. Pris dans cette relation bridée particulièrement frustrante, « patient » et
« soignant »/proche en sont réduits à se conformer aux habitudes institutionnelles sans
perspectives enthousiasmantes. Dans un tel contexte, l’expérience consistant à entendre des voix
n’est pas prise en compte dans l’aide proposée aux personnes qui y sont confrontées. Les
professionnels de la santé mentale sont formés à ignorer cette expérience considérée comme un
symptôme de maladie qu'il conviendrait de chercher à éliminer. Cette façon d'appréhender les voix
conduit inéluctablement à un isolement de la personne qui les entend. Cet isolement augmente la
souffrance de la personne, entrave le processus de rétablissement et instaure une relation de
défiance envers les professionnels voire les proches. Au cours de cette formation, en redonnant
une place aux voix et au « savoir » pratique des personnes qui vivent les expériences dites
« psychotiques », nous ferons ensemble l’expérience de la révolution que cela induit dans les
pratiques de soins en psychiatrie et dans les relations au quotidien entre toutes les personnes
concernées, ouvrant les larges horizons de possibilités du processus de rétablissement.
Cliquez ici pour télécharger le programme !
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